Жанна д’Арк [заметки]
1
Fernand Laudet. «L'enfant chérie du monde»… sainte Thérèse de Lisieux. Tours: A. Mame et fils (1927). P. 78. — «Je veux passer mon ciel a faire du bien sur la terre».
2
Laudet. 134.
3
Novissima Verba. Derniers entretiens de St.Thérèse. 1926. P. 211.
4
Novissima Verba. 115.
5
La Bienheureusc Thérèse de I'Enfant Jesus. Histoire d'une âme. 1923. P. 317. — Cardinal Vico: «il faut nous hâter de glorifier la petite Sainte, si nous ne voulons pas que la voix des peuples nous devance».
6
Charles Péguy. Le Mystère de la charité de Jeanne d'Arc. Paris: Cahiers de la quinzaine, 1926.
7
Stephen Coubé. Sainte Thérèse de France. 1928. P. 37. «Viens nous sauver pour la seconde fois!».
8
Antoine Jean Victor Le Roux de Lincy, ed. Recueil de chants historiques français depuis le XII jusqu'au XVIII siecle. Paris: C. Gosselin, 1841. I. 300–301. — Charles Du Fresne Du Cange. Glossaire françois, faisant suite au Glossarium mediae et infimae latinitatis, avec additions de mots anciens extraits des glossaires de la Curne de Sainte-Palaye, Roquefort, Burguy, Diez, etc., et une notice sur Du Cange. Niort: Тур. de L. Favre, 1879. Au mot: Caudatus. — Jacobus de Varagine. La légende dorée; traduite du latin d'après les plus anciens manuscripts, avec une introduction, des notes, et un index alphabetique, par Teodor de Wyzewa. Paris: Perrin, 1923. La legende de S. Grégoire.
9
Jules Etienne Joseph Quicherat. Procés de condamnation et de réhabilitation de Jeanne d'Arc, dite La Pucelle. Paris: J. Renouard et cie, 1841–1849. II. 436.
10
Novissima Verba. 211. — «Je chasserai l'etranger du royaume…».
11
Laudet. 182:
…Mes enfants m'abreuvent de douleurs:
Dieu m'est rien pour eux…
12
Достоевский. Братья Карамазовы. XI. — Черт. Кошмар Ивана Федоровича.
13
Anatole France. Vie de Jeanne d'Arc. Paris: Calman Lévy, 1908–1909. Vol. I. P. LXV.
14
France. I. P. III.
15
France. I. P. LXY.
16
Procès. I. 431, 438.
17
France. I. P. XLIX.
18
France. II. 465.
19
Voltaire. Essai sur les moeurs. LXXX.
20
J. Bainville. Marie Loise Amiet. La condamnation de Jeanne d'Arc vue à la lumière des grands événements du moyen-âge. Paris: Nouvelle éditions du siècle (1934).
21
Procès. I. 62, 154.
22
Novissima Verba. 87. — «On me harcèle de questions; cela me fait penser à Jeanne d'Arc devant son tribunal».
23
Procès. IV. 518. — Gabriel Hanotaux. Jeanne d'Arc (Paris): Hachette et cie, 1911. P. 122–123.
24
Procès. IV. 506. — Hanotaux. 123.
25
Georges Chastellain. Chronique des ducs de Bourgogne. Paris: Verdière, 1827. — Louis Petit de Julleville. Sainte Jeanne d'Arc. Paris: J. Gabalda et fils, 1928. P. 86.
26
Journal d'un bourgeois de Paris, ap. Jules Michelet. Jeanne d'Arc. Paris: Calman Lévy, (1856). 212. — «…Une créature qui était en forme de femme… qu'on nommait la „Pucelle“. Que c'estait? Dieu le sait».
27
Procès. I. 100. — Guillaume Gruel. Chronique du comte de Richemont. Paris, 1838. P. 71. — Eberhard Windecke. Chronique. 178–179.
28
Pierre Lanéry d'Arc. Le culte de Jeanne d'Arc au XVe siècle. Orleans: Herluison, 1887. — Auguste Valllet de Virville. Note sur deux médailles de plomb relatives à Jeanne d'Arc. Paris: Bureaux de la «Revue archeologique», 1861.
29
Chronique d'Antonio Morosini; extraits relatifs à L'histoire de France, pub. pour la Société de l'histoire de France, introduction et commentaire par Germain Lefèvre-Pontalis, texte établi et traduit par Léon Dorez. Paris: Librairie Renouard H. Laurens succ., 1898–1902. — France. I. 543.
30
Georges Chastellain. Vigiles de Charles VII. 1724. P. 120:
Sainte fut adorée
Par les oevres que fit…
Arse à Rouen en cendre,
Donnant depuis entendre
Son revivre autrefois.
31
Anne Louise Masson. Jean Gerson, sa vie, son temps, ses oeuvres; précédé d'une introduction sur le moyen âge. Lyon: E. Vitte, 1894. — Auguste Vallet de Virville. Histoire de Charles VII, roi de France, et de son epoque. 1403–1461 Paris: Vve J. Renouard, 1862–1865. Vol. II. P. 94. — Archevêque d'Embrun, Jacues Gelu.
32
Procès. III. 395, 410.
33
Petit de Julleville. 206. — Decret de beatification et canonisation de Jeanne d'Arc: «…ayant été livrée au feu du bucher par les hommes, qui étaient surtout les ennemis du Saint-Siège».
34
Amiet. 66.
35
Procès. I. 174, 176.
36
Procès. I. 430, 437. — Première sentence. Article XII.
37
Amiet. 158. — Première sentence. LXI. — «Qu'elle était à Dieu sans intermediaire… S'en reférant a Lui… et non au jugement de l'Eglise».
38
Michelet. 247. — «Non credabat nec praelato, nec papae, nec cuiumque, quia hoc habebat a Deo».
39
August. Contra Epist. Fundamenti. VI. — «Ego vero Evangelio non crederem, nisi me Catholicae Ecclesiae commoverat auctoritas».
40
Hanotaux. 306. — «Ne vous croyez-vous donc pas soumise à l'Eglise de Dieu qui est sur la terre?..». — «Oui, je m'y crois soumise, mais Dieu premier servi»
41
Amiet. 67. — Evêque de Beauvais, Pierre Cauchon. — Jean Graverend.
42
Procès. I. 409.
43
Amiet. 162. «Je m'en rapporterais… à notre Sire».
44
Amiet. 158, 198.
45
Jerôme et Jean Tharaud. Notre cher Péguy. Paris: Plon-Nourry et cie, 1926. II. 144. — «Elle a toujours passé outre».
46
August. De civitate Dei. XX, XXII. — In Johan. Evang. Tractat. XXVI. 124. — Émile Gebhart. L'ltalie mystique; histoire de la renaissance religieuse au moyen âge. Paris: Hachette et cie, 1890. P. 59.
47
Joach. Florens. Exposit. in Apocalyps. Fol. 83.
48
Coubé. 37.
49
La Bienheureuse Thérèse de l'Enfant Jèsus. Histoire d'une âme 295, 317.
50
Amiet. 282.
51
Michelet. 287.
52
Hanotaux. 244.
53
Procès. I. 219–220. — Robert de Baudricourt, capitaine de Vaucouleurs. — «Une fois accomplies les grandes choses j'ai à faire de la part de Messire, je me marierai et j'aurai trois fils, dont le premier sera pape, le seconde empereur, le troisième roi». — «Piusqu'ils seront si grands personnages, je voudrais t'en faire un». — «Nenni, gentil Robert, nenni! Il n'est pas temps: le Saint-Esprit у ouvrera».
54
Amiet. 141.
55
Joach. Florens. Expositio in Apocalyps, ed. Venezia, 1527. Fol. 94, verse. — Concord. Vet. et. Nov. Testam. Lib. V. — Fournier. 8. — Renan. Nouvelles études historique. 286.
56
Celano. V. S. II. 163.
57
Procès. I. 483. — … «Celui-là seul qui me peut délivrer».
58
Joach. Florens. Concord. V. 84.
59
Procès. II. 456. — «De fait, le royaume n'appartient pas au dauphin. Mais Messire veut que le dauphin soit fait roi et qu'il ait le royaume en commande…». — «Qui est Messire?». — «Le Roi du Ciel».
60
Procès. III. 91; IV. 140, 486. — Léopold Victor Delisle. Nouveau témoignage relatif à la mission de Jeanne d'Arc. Paris: H. Champion, 1885. P. 649. — Germain Lefèvre-Pontalis. Les sources allemandes de l'histoire des Jeanne d'Arc. Eberhard Windecke. Paris: A. Fontemoing, 1903. P. 52–53.
61
Novissima Verba. 87. — Laudet. 134.
62
Joach. Florens. Concord. Ed. Lable. Vol. XI. Part. 2. Col. 2361–2362.
63
Procès. V. 104. —Lanéry d'Arc.
64
Moniteur. 10 Pluviose, au XI — 30 Janvier 1803. — France. I. P. LXIV.
65
Tharaud. II. 244. — «Je pars soldat pour le desarmement général et la dernière des guerre».
66
Michelet. 187. — «Nolebat uti enso suo, nec volebat quemquam interficere». — Procès. I. 78. — «Onques n'ai tue personne».
67
Procès. III. 212–213.
68
Fioretti. XIII.
69
Morosini. III. 78.
70
Procès. V. 115, 121. — Journal d'un bourgeois de Paris. 237.
71
Wadding. V. 130.
72
Procès. III. 74; IV. 139. — «…Feront le plus bel fait que onques fut fait pour la Chrestienté».
73
Morosini. III. 64–65.
74
Procès. I. 78, 300. — «De par le Roi du Ciel».
75
Procès. I. 78, 300. — «De par le Roi du Ciel».
76
Procès. III. 186, 355. — Michelet. 286.
77
Laudet. 182.
78
Procès. III. 12.
79
Procès. I. 46; V. 116. Siméon Luce. Jeanne d'Arc à Domremy. Paris: H. Champion, 1886. P. 360. — Remi Boucher de Molandon. Jacques d'Arc, père de la Pucelle. 1885.
80
Vallet de Virville. Histoire de Charles VII. II. 43.
81
Francisque Mandet. Histoire du Velay. Le-Puy-en-Velay: M. P. Marchessou, 1862–1863. Vol. I. P. 570. — La Verge Noire de Puy-en-Velay. — Luce. XII.
82
A. Dietrich. Mutter Erde. 1905. S. 37.
83
Êdouard Paul Dhorme. La réligion Assyro-Babylonienne; conferences donnees a l'Institut catholique de Paris. Paris: J. Gabalda, 1910. P. 260.
84
Быт. 3, 15. — Franz Julius Delitzsch. Die Genesis. Leipzig: Dërffling und Franke, 1872. S. 148–150.
85
Origen. In Johan. II. 12, 6. — Resch. 216, 344–345. — Johannes Weiss. Das älteste Evangelium. Göttingen: Vandenhoeck und Ruprecht, 1903. S. 132–133.
86
Étienne Médicis. Le livre De Podio; ou, Chroniques d'Étienne Médicis, bourgeois du Puy. Publiees au nom de la Société académique du Puy par Augustin Chassaing. Le-Puy-en-Velay: M. P. Marchessou, 1869–1874. Vol. I. P. 135. — Louis Alexandre Pascal. Bibliographie du Velay et de la Haute-Loire. Le-Puy-en-Velay: M. P. Marchessou, 1903. Vol. I. — Hanotaux. 52.
87
Tacit. II. 3, 19.
88
Ch. Villay. Les cultes et les fêtes d'Adonis-Thammouz. 1904. P. 58. — Hugues Vincent. Canaan. Paris: V. Lecoffre, J. Gabalda, 1914. P. 127.
89
Heracl. Fragm. 8, 10, 67, 31.
90
Clement. Roman. II. 12, 2. — Resch. 93.
91
Procès. I. 66, 51. — «Pour filer et coudre je ne crains femme de Rouen».
92
France. I. 7.
93
Procès. III. 74.
94
Francois Villon:
Femme je suis, povrette et ancienne,
Je rien ne sais, onques lettres ne lus.
Au moutier vois, dont suis paroissienne,
Paradis peint où sont harpes et luts,
Et un enfer où damnés sont boulus:
L'un me fait peur, l'autre joie et liesse…
95
Procès. I. 46–47. — «A matre dedicit Pater Noster, Ave Maria, Credo, nec alibi didicit credentiam nisi matri».
96
Henri Francois Xavier Marie Bouchot. L'oeuvre de Gutenberg, l'imprimerie — l'illustration. Paris: H. Lecène et H. Oudin, 1889. P. 15. — Hanotaux. X. — Celestin Bourgaut. Guide et souvenirs du pèlerin à Domremy. Nancy: Impr. Berger-Levrault et cie, 1878. P. 60. — Emile Hinzelin. Chez Jeanne d'Arc. Paris: Berger-Levrault et cie, 1904. P. 65, 72.
97
Varagine. Legenda Aurea. — Jules Douhet. Dictionnaire des légendes du christianism, ou Collection d'histoires apocryphes et merveilleuses se rapportant à l'Ancien et au Nouveau Testament, de vies de saints également apocryphes et de chants populaires, tels que cantiques, complaintes et proses. Paris: J.-P. Migne 1855. P. 282. — France. I. 39:
Ave, très sainte Cathérine,
Vierge pucelle nette et fine.
98
Varagine. Vita S. Margaritae. — «…Tonsis crinibus, in virili habitu». — Michelet. 174.
99
Douhet. 824–836.
100
Procès. Table, aux mots: Bois Chesnu, Fopntaine des Groseillers. — Journal d'un bourgeois de Paris. 267. — Wolf. Mythologie des fées et des elfes. 1828. — A. Magury. Les fées au Moyen âge. 1843. — France. I. 12. — «Fontaine-aux-Bonnes-Fées-Notre-Seigneur».
101
Procès. II. 422. — «Le Beau-Mai».
102
Procès. II. 396, 450; I. 67, 209.
103
Procès. I. 185–186.
104
Procès. II. 422.
105
Procès. I. 67, 209–210.
106
Michelet. 173. — «…Quod debebat venire Pucella ex quodam nemore Canuto…». — Procès. III. 347. — «Une Pucelle sortira du Bois Chesnu pour guérir les blessures de France». — Hanotaux. 5:
…Car Merlin, et Sibile, et Bède,
Plus de mille ans a, la virent
En Esprit…
107
Hanotaux. 6–7. — Azincourt.
108
Claude Carlier. Histoire du duché de Valois. Paris: Guillyn, 1764. Vol. II. 441 et suiv. — Luce. III. — (Traite de Troyes).
109
См. сноску выше.
110
См. сноску выше; Thomas Basin. Histoire de Charles VII, éditée et traduite par Charles Samaran. Paris: Société d'édition «Les Belles lettres», 1933. Vol. I. Ch. IV. — A. Tucty. Les écorcheurs Charles VII. 1874. II, passim, — H. Lepage. Episodes de l'histoire des routiers de Lorraine. P. 161 et suiv.
111
Petit de Julleville. 132. — «…L'Ange me racontait la grande pitié qui était au royaume de France».
112
Procès. II. 392, 454; I. 51, 214. — Luce. CLXXVI.
113
Journal d'un bourgeois de Paris. 164. — «Que ferons nous? Mettons nous en la main du duable. Il ne nous chaut de ce que nous allons devenir, car, par mauvais gouvernement et trahison, il nous faut renier femmes et enfants, et fuir dans les bois, comme bêtes sauvages. Et il n'y a pas un an ou deux, mais déjà quatorze ou quinze ans que cedanse douloureuse commença… Mieux nous voudrait serviles Sarrazins que les chretiens. Autant faire du pis qu'on peut comme du mieux. Faisons du pis que nous pourrons…».
114
Memoir. de I'Acad. d. Science. Vol. XVI. P. 424–427. M. Larrey. La Danse de Saint-Guy. — Michelet. 117–118.
115
Michelet. 318–324. — Biblioth. Royale. Manuscr. 493.
116
Procès. I. 52, 72–73, 89, 170. — «…Magnum habebat timorem».
117
Petit de Julleville. 10. — Lettre du sénéchal de Berry, Perceval de Boulainvilliers au due de Milan, année 1429. — «…Ravie et comme hors de sens…».
118
Procés. III. 204. — «Comme je gardais les animaux, une Voix m'apparut».
119
Гоголь. Старосветские помещики.
120
Michelet. 174–175. — «Jeanne! sois bonne et sage enfant; va souvent à l'église».
121
Procès. I. 173, 248, 249. — P. Ch. Cahier. Caractéristique des Saints dans l'art populaire. Paris: Pousselique frères, 1867. Vol. 1. P. 363.
122
Procès. I. 72, 75.
123
Amiet. 97. — «La première fois… j'eus grande peur. J'eus aussi grand doute si c'était Saint-Michel… se tenait à quelques pas, et Tune des Saintes faisait la navette pour prendre conseil de l'Archange».
124
Procès. I. 52.
125
См. сноску выше.
126
См. сноску выше.
127
Procès. I. 480; II. 413. — «Promiserat dare lanas… ut diligentiam haberet pulsando».
128
Procès. I. 218. — «Celavit visiones curato, patri et matri».
129
Procès. I. 73.
130
Amiet. 93. — «Leurs figures sont couronnées moult richement et préciesement».
131
Procès. I. 186.
132
Procès. I. 130.
133
Procès. I. 130.
134
Procès. III. 112.
135
Procès. I. 73.
136
Procès. I. 128. — Hanotaux. 9.
137
Procès. I. 52–53.
138
Procès. III. 57.
139
Procès. I. 53.
140
Gebhart. 90.
141
Michelet. 244.
142
Remi Boucher de Molandon. La famille de Jeanne d'Arc; son séjour dans l'Orléans d'après des titres authentiques récemment découverts, tableaux généalogique. Orleans: H. Herluison, 1878. P. 146. — Durand Laxart ou Lassois. — Burey. - Vaucouleurs. — Procès. II. 443.
143
Chronique de la Pucelle. 271. — Jean Chartier. Chronique de Charles VII, roi de France, publiée avec notes, notices et eclarcissemens par Vallet Viriville. Paris: P. Jaunet, 1858. Vol. I. P. 67. — Maurice de Pange. Le pays de Jeanne d'Arc, le fief et l'arriere fief. Les Baudricourt. Paris: (Nogent-le-Rotrou, impr. Daupeley-Gouverneur), 1903.
144
Procès. II. 436; I. 53; II. 456, 444. — Robert de Baudricourt: «reconduis-la à son père avec de bons soufflets». — Leon Mougenot. Jeanne d'Arc, le Duc de Lorraine et le Sire de Baudricourt; contribution à l'histoire de la Pucelle et de la region lotharingique. Nancy: Impr. Berger-Levrault et cie, 1895.
145
Procès. I. 131–132, 219. — «Voilà celle qui relevra la France et le sang royal!». — Procès. II. 421, 433. — «Juvenes de la deribant».
146
Procès. I. 68. — «Jeannette a pris son fait près de l'arbre des Fées!».
147
Amiet. 85 — «Me tenaient en grande sujestion». — Procès. I. 128, 215.
148
См. сноску выше.
149
Eugene Misset. Jeanne d'Arc. Champenoise. Paris: H. Champion, 1895. P. 28.
150
Procès. II. 228, 434.
151
Procès. II. 419. — Hauviette.
152
Amiet. 85. — «Peu s'en fallut que mes père et mère perdissent le sens».
153
Procès. I. 51, 214; II. 392, 395. — Leroyer. — Gasquet. 45.
154
Chronique de la Pucelle. 273. — Dom Calmet. Hist. de Lorraine. III. Col. VI.
155
Procès. II. 450. — Bertrand de Poulengy, Jean de Metz.
156
Procès. II. 435–457. — «Eh bien, ma mie, que faites-vous ici? Faut-il que le roi soit chassé du royaume et que nous soyons tous Anglais?». — «Avant qu'arrive mi-carême, il faut que je sois devers le daufin dussé-je, pour у aller, user mes pieds jusqu'aux genoux… car nul au monde… ne peut recouvrer le royaume de France… Il n'y a secours que de moi, quoique pour ma part, j'aurais bien plus cher filer près de ma pauvre mère, vu que ce n'est pas là mon état. Mais il faut que j'aille. Et je ferai cela parceque Messire veut que je fasse». — Gaston Louis Emmanuel Beaucourt. Histoire de Charles VII. Paris: Libraire de la Sociêtê Bibliographique, 1881–1891. Vol. II. P. 396.
157
Procès. II. 447. — «Le temps me dure, comme à une femme prêt d'accoucher». — Amiet. 16. — «Je ne puis plus durer où je suis».
158
Procès. III. 7; II. 391, 441; I. 129. — Dom Calmet. III. Col. VI.
159
Journal du siège d'Orléans. 48. — Chronique de la Pucelle. 275. — Rouvray.
160
Procès. II. 446. — «Si tu es chose mauvais, éloigne toi; si tu es chose bonne, approche».
161
Procès. I. 54; II. 438, 445–547.
162
Procès. II. 449.
163
Gabriel Pimodan. La première étape de Jeanne d'Arc. Paris: H. Champion, 1891.
164
Procès. 457–458. — «Mes frères du Paradis me disent ce que j'ai à faire».
165
Michelet. 163. — France. I. 198. — «Herodiade gonflée d'impuretés», «Grande Gorre».
166
Michelet. 164. «Le soit-disant Daufin».
167
Chartier. III. 114–121.
168
Hanotaux. 211. — «Chambres et retraites».
169
Jean Juvenel des Ursins. Epitre aux Etats d'Orléans. Bibl. Nat. Manuscr. franç. 2701. — Beaucourt. II. Ch. IV.
170
Alain Chartier. Diets et Ballades. 1489. Bibl. Instit. L. 60. — Charles VII, couché entre Entendement et Mélancolie. — Hanotaux. 163.
171
Amiet. 31. — «Pileux envers povres gens… ne s'armait volontiers et n'avait point chère la guerre s'il eût pu s'en passer».
172
Procès. I. 79, 141. — Chronique de la Pucelle. 273. — Journal du siège d'Orléans. 46–47. — Thomas Basin. Charles VII et Louis XI. Vol. I. P. 68. — Château de Chinon.
173
Procès. I. 75; III. 17, 92, 115. — J. Chartier. 67. — Chronique de la Pucelle. I. 273. — Journal du siège d'Orléans. 46.
174
Beaucourt. II. 195. — Amiet. 335.
175
Hanolaux. 162. V. — Musée de Louvre, portrait de Charles VII, par Lohan Fouquet.
176
Procès. I. 75, 92, 115. — «Dieu vous donne bonne vie, gentil Daufin». — Procès. II. 103. — «J'ai nom Jeanne la Pucelle, et vous mande le Roi des cieux que vous serez sacré et couronné à Reims el serez lieutenant du Roi des cieux que est le Roi de France». — Chronique de la Pucelle. 273. — J. Chartier. I. 67–68. — Procès. III. 103. — «Je te dis, de la part de Messire, que tu es vrai héritier de France et fils du Roi».
177
Amiet. 14. — Gallia Christiana. II. 732. — Vallet de Virville. Chârles VII. II. 253. — Château des Loches.
178
Procès. III. 116.
179
Procès. III. 116, 209.
180
Amiet 18. — Procès. III. 19–20.
181
Procès. III. 73–74. — Boucher de Molandon et A. de Beaucorps. L'armée anglaise vaincue par Jeanne d'Arc sous les murs d'Orléans; documents inédit et plan par m. Boucher de Molandon et le baron Adalbert de Beaucorps. Orléans: H. Herluison; Paris: L. Baudoin, 1892. P. 111.
182
Procès. III. 204. — Seguin.
183
Procès. III. 86. — «II у a aux livres de Notre-Seigneur plus qu'aux votres». — «Messire Dieu a un livre, en lequel oncques clerc n'a lu, tant soit-il parfait en cléricature».
184
France. I. 230. — «Jeanne sentait la persinée». — Juvenel de Usins. Hist, de Charles VI. 359.
185
Beda Venerabilis. The Venerable Bede's Ecclesiastical history of England. Also the Anglo-Saxon chronicle. Edited by J. A. Giles. London: H. G. Bohn, 1847:
Ecce beant bella, turn fert vexilla Puella.
Procès. V. 12. — Le Band. Hist. de Bretagne. 1638. P. 451. — Arthur de La Borderie. Les véritables prophéties de Merlin, examen de poémes bretons attribues à ce barde. Paris: H. Champion, 1883.
186
Procès. III. 210. — «Mulieres doctae, peritae virgines». — Morosini. 99.
187
Procès. III. 391–392. — «Car avoir crainte d'elle ou la rejeter… serait repugner au Saint-Esprit».
188
Amiet. 335.
189
Procès. III. 67, 94, 210; IV. 3, 304, 363.
190
Procès. I. 77. — Chapelle de Fier-bois. — Chronique de la Pucelle. 277. — J. Chartier. 69–70.
191
Procès. I. 77, 30. Relation du grafflex de la Rochelle. 338. — Morosini. 110.
192
Procès. II. 438, 457; III. 100, 219. — «Erat casta, erat castissima… Non credit aliquam mulierem plus esse castam quam ista Puella erat».
193
R. de Fournival. Bestiaere, ap. Paulin Paris. Manuscr. franc. IV. 25. — A. Mayry. Croyances et légandes du moyen âge. 262 et suiv. — Jules Berger de Xivrey. Traditions tératologiques. Paris: Imprimerie royale, 1836. P. 559.
194
Amiet. 103.
195
Procès. I. 78. — Petit de Julleville. 121.
196
Michelet. 189. — «Si Dieu se fesait homme d'armes, il serait pillard». — «Sire Dieu, je te prie de faire pour La Hire ce que La Hire ferait pour toi, si tu étais capitaine et si La Hire etait Dieu».
197
Michelet. 190.
198
Michelet. 191.
199
Procès. III. 74; IV. 139. — «Elle est toute preste de faire paix… Et se ainsi ne le faietes… en quelquq lieu que j'actaindrai vos gens en France, je les en ferai aler, vuellant ou ne vuellant… La Pucelle vous prie et vous requiert que vous ne vous faictes mie destruire. Se vous lui faictes raison, encore pourrez venir en sa compagnie, l'ou que les Franchois feront le plus belle fait que oncques fut fait pour la chrestienté. Et faietes respouse se vous velez faire la paix…».
200
France. I. 291–292.
201
Procès. III. 104–105. — Blois, Sologne.
202
J. Chartier. II. 105. — Journal d'un bourgeois de Paris. 221. — Vallet de Virville. I. 25; II. 389. — Comte Dunois, Bâtard d'Orleans.
203
Procès. III. 5–6. — Chronique de la Pucelle. 284. — Boucher de Molandon. Première expédition de Jeanne d'Arc. 49.
204
France. I. 303–306. — Talbot.
205
Procès. III. 105. — Chronique de la Pucelle. 284–285.
206
To же «чудо предзнания» — у всех великих полководцев, от Александра и Цезаря до Наполеона. — Charles Augustine Sainte-Beuve. Causeries de Lundi. Paris: Garnier frères, 1852–1862. Vol. VIII. P. 221. — Napoléon à Roederer: «j'ai prévu tout ce que devait arriver… C'est le don particulier que j'ai reçu en naissant».
207
Journal du siège d'Orleans. 74–75. — Chronique de la Pucelle. 287. — Porte de Bourgogne. — Procès. III. 30. — «Comme s'ils veissent Dieu descendre entre eulx».
208
Journal du siège d'Orleans. 76–77.
209
Chronique de la Pucelle. 284. — Procès. III. 26–27.
210
Journal du siège d'Orleans. 79. — Chronique de la Pucelle. 290. — Porte du Pont, Bastille de Belle-Croix. — «Rendez-vous, de par Dieu, vos vies sauves seulement!». — «Vachere! si nous te tenons, nous te ferons bruler!».
211
Procès. III. 211. — France. I. 323.
212
Journal du siège d'Orléans. 80. — Philippe Mantellier. Histoire du siège d'Orléans. Orléans: H. Herluison, 1867. P. 92–95.
213
Journal du siège d'Orléans. 80. — «Retournez, de par Dieu, en Angleterre! Si non, je ferai que vous serez afflegés!». — Procès. III. 68. — «Ribaude… sorcière…».
214
Louis Jarry. Le compte de l'armée anglaise au siège d'Orléans. 1428–1429 Orléans: H. Herluison, 1892. P. 61.
215
Procès. I. 103.
216
France. I. 321.
217
Petit de Julleville. 42.
218
Germain Lefevre-Pontalis. La panique anglaise en mai 1429. Paris: E. Boullon, 1894. — Jean Baptist Joseph Ayroles. La vraie Jeanne d'Arc. Paris-Gaume et cie, 1890–1892. Vol. III. P. 272–274. — Michelet. 227. — «Contra terrificatos incantantionibus Puellae».
219
Procès. V. 137.
220
Procès. III. 212.
221
Journal du siège d'Orléans. 43–44, 78–79.
222
Michelet. 182. — «Pastoure», «pastourelle», «paupercula bergeretta».
223
Procès. III. 88. — «J'ai été envoyée pour la consolation des pauvres et des indigents».
224
Petit de Julleville. 125. — «Les pauvres venaient à moi volontiers, parce que… j'aimais à les supporter».
225
Pégui: Le mistère de la chérité de Jeanne d'Arc, 1899.
…A tous ceux qui auront vecu leur vie humaine
…et à tous ceux qui seront mort de leur mort humaine,
Pour l'établissement de la République socialiste universelle.
226
August. De civit. Dei. XIX. 17. — Sermo. 285. — «Res alienae possidentur, cum superflua possidentur». — Ad Joh. VI. 25.
227
Joach. Flor. Expos. in Apocalyps. Fol. 199.
228
Specul. Perfect. I. 3, 4.
229
Lefèvre-Pontalis. Eberhard Windecke. 52–53. — «…Qu'il s'humiliât assez, pour que tous ceux, pauvres et riches… qui viendront à lui, il les recût en grâce».
230
Morosini. III. 64–65.
231
France. I. 130. — Plan d'Orléans. — Bastille de Saint-Loup. Autun.
232
Procès. III. 212–218. — Jean d'Aulon. Mugot. — «En nom de Dieu! mon Conseil m'a dit que j'allasse centre les Anglais». — Procès. III. 106. — «Oû sont ceux qui doivent m'armer? Le sang de nos gens coule!». — Procès. III. 68. — «Ha! sanglant garcon, vous ne me disiez pas que le sang de France fut répandu!».
233
Procès. III. 109, 127. — Chronique de la Pucelle. 295.
234
Procès. III. 213. — «Je n'ai jamais vu sang Français que les cheveux ne me levassent sur la tête».
235
Procès. III. 106. — «La Pucelle etait toute dolente». — Chronique de la Pucelle. 289, 295.
236
France. I. 338–339.
237
Procès. III. 107–108. — «J'ai des nouvelles de Messire». — Chronique de la Pucelle. 286. — Journal du siège d'Orléans. 79.
238
France. I. 130. — Plan d'Orléans. — (Bastille des Tourelles. Bastille des Augustins).
239
Journal du siège d'Orléans. 85. — Perceval de Gagny. 146. — Procès. III. 214–215.
240
Procès. III. 108–109. — «Vous avez été à votre conseil, et j'ai été au mien, et croyez-moi que le conseil de Messire sera accompli… et que le votre pèrira». — «…Exire crastina die sanguis a corpore meo supra mammam». Два последних слова: «над сосцом», — принадлежат, вероятно, не самой Жанне, а брату Паскерелю (Pasquerel), прибавившему их для того, чтобы усилить чудесную точность пророчества. Но что оно все же исполнилось, и А. Франс отрицать не смеет. — France. I. 351: «que Jeanne ait longtemps d'avance annoncé qu'elle serait bléssée, on ne peut le nier». — To же пророчество сохранилось и в счетных книгах Брабантского двора от 1429 года. — Procès. IV. 426: «dixit quod ipsa aute Aureliam in conflicto telo vulnerabitur. Жанна предсказала, что будет в бою у Орлеана ранена стрелою». Точность предсказания в самом деле чудесная: ранена будет не ядром, не пулей, а «стрелою», как и была действительно ранена. «Я предвидела все, что будет: это особый, от рождения мною полученный дар», — могла бы сказать, и в этом случае, Жанна, вместе с Наполеоном.
241
Michelet. 197. — «Sembloit… qu'ils cuidassent estre immortels». — Journal du siège d'Orléans. 85. — Procès. III. 214–215.
242
Journal du siège d'Orléans. 85. — Chronique de la Pucelle. 293. — «Ayez bon coeur, ne vous retirez pas: vous aurez la bastille de bref».
243
Procès. I. 79; III. 109. — Chronique de la Pucelle. 293. — Michelet. 197. — «Timut, flevit».
244
Procès. III. 109.
245
Procès. III. 25. — «En nom de Dieu! vous entrerez bien bref dedans. N'ayez crainte, et n'auront les Anglaise plus de force sur nous». — Journal du siège d'Orléans. 85.
246
Procès. III. 25.
247
Procès. I. 216. — Journal du siège d'Orléans. 86. — Chronique de la Pucelle. 293. — «Donnez-vous garde, quand la queue de mon étendard touchera contre le boulevard». — «Jeanne, la queue у touche». — «Tout est votre, et у entrez!».
248
Journal du siège d'Orléans. 87. — William Glasdal. — Procès. V. 294; III. 110. — «Glassidas! Glassidas! rends-t'-y, rends-t'-y au Roi des Cieux. Tu m'a appelée putain… J'ai grande pitié de ton âme et de celle des tiens».
249
Chronique de la Pucelle. 294. — Journal du siège d'Orléans. 17. — Procès. V. 294; III. 9, 25, 80, 110. — Michelet. 198. — «Incepit flere fortiter pro anima ipsius et aliorum submersorum».
250
Perceval de Gagny. 147. — Chronique de la Pucelle. 295.
251
Journal du siège d'Orléans. 88. — Chronique de la Pucelle. 295. — J. Chartier. I. 78.
252
Procès. III. 9, 29. — Journal du siège d'Orléans. 89, 209.
253
Leopold Victor Delisle. Nouveau document relatif à la mission fe Jeanne d'Arc. 1905, ap. Hanotaux. 155.
254
Procès. III. 99. — «Je durerai un an, guère plus. Qu'on pense à bien besongner pendant cette année».
255
Journal du siège d'Orléans. 93. — Chronique de la Pucelle. 299. — Procès. III. 12. — «Gentil daufin, n'assemblez pas tant et de si longs conseils, mais venez tout de suite à Reims recevoir votre digne sacre». — «Est-ce votre Conseil qui vous parle de telks choses?». — «Oui, et je suis beaucoup aiguillonee à cet endroit».
256
Chronique de la Pucelle. 310–312. — Michelet. 202.
257
Procès. III. 205. — Petit de Julleville. 27–28. («Je ne veux pas tenter Dieu… Je demande des gens d'armes. Ils combattrons; Dieu donnera victoire». — Procès. I. 621, 154. — «Oeuvrez, et Dieu oeuvrera».)
258
Chronique de la Pucelle. 306. — Bataille de Patay. — Procès. III. 98–99. — «En nom de Dieu, s'ils étaient pendus aux nuées, nous les aurons… Avez-vous de bons éperons?». — «Quoi! fuierons-nous donc?». — «Nenni, ce seront les Anglais qui fueront; mais il vous faudra des éperons pour les poursuivre… Le gentil roi aura aujourd'hui plus grande victoire qu'il eût longtemps. Et m'a dit mon Conseil qu'ils sont tous notres».
259
Mantellier. 139. — Gruel. 73–74. — Perceval de Gagny. 154. — Chronique de la Pucelle. 306. — J. Chartier. I. 86.
260
Procès. III. 71. — «Habebat magnam pictatem de tanta occisione». — Michelet. 201. — «Tenendo eum in caput et consolando».
261
Procés. IV. 342.
262
Chronique de la Pucelle. 312.
263
Procès. III. 100. — «Hors des faits de guerre, elle était simple et jeunetle».
264
Procès. III. 88.
265
Michelet. 216. — Lagny.
266
Procès. III. 84. — «En vérité, je ne saurais m'en garder, si Messire ne m'en gardait».
267
Michelet. 165.
268
France. I. 389.
269
Petit de Julleville. 121–122. — «Avant sept ans, les Anglais laisseront un plus grand gage qu'ils n'ont fait à Orléans. Ils perdront tout en France, par une grande victoire que Dieu enverra aux Français. Je le sais, par une revélation qui m'en a été faite; je le sais aussi assurement que je sais que vous êtes en ce moment devant moi».
270
Froissart. 1. II. Ch. LXXIV. — Flodoart. Hist, ecclesiae Remensis, collect. Guizot. V. 41 et suiv. — Dom Marleot. Hist, de la ville de Reims. II. 48.
271
Journal du siège d'Orlans. 113. — Chronique de la Pucelle. 321. — Pierre Varin. Archives administratives de la ville de Reims. Paris: Impr. de Crapelet, 1839–1853. II. 569; III. 555.
272
Chronique de la Pucelle. 322–323. — Journal du siège d'Orleans. 114. — «Gentil Roi, maintenant, est fait le plaisir de Dieu que je levasse le siège d'Orléans et vous amenasse en cette cité de Reims recevoir votre saint sacre, en montrant que vous êtes vrai Roi et celui au quel le royaume de France doit appartenir». — Procès. III. 14–15. — «Je voudrais bien qu'il plut à Dieu que maintenant je me retirasse, laissant là les armes, et que j'allasse servir mes père et mere, en gardant les brebis». — «In custodiendo oves ipsorum, cun sorore et frartibus meis qui multum gauderent videre me».
273
Petit de Julleville. 70–71.
274
Michelet. 217. — «Je ne crains rien que la trahison».
275
Procès. III. 116. — «J'ai pitiè de vous et de la peine que vous endurez». — France. I. 441. — «Et audivit ipsa ex ore regis multa bona de ea… Rex habuit peitatem de ea et de poena quam portabat».
276
Hanotaux. 211, 216.
277
Petit de Julleville. 60. — Sire de La Tremoille. — 94. — Regnault de Chartres. — «Elle ne voulait croire personne, mais faisait tout à son plaisir».
278
France. II. 21.
279
Hanotaux. 200.
280
Hanotaux. 200, 203–208, 218.
281
Procès. V. 139–140.
282
Hanotaux. 214. — «On ne trouverait point de paix, si ce n'etait par le bout de la lance». — France. II. 9 — 10.
283
Amiet. 31. — Lettre de Jouvenel des Ursins.
284
Amiet. 32. — «Jeanne, pertubatrice de la paix, abuseresse du peuple».
285
Michelet. 217. — «Je vous le dis avec assurance… je suis trahie et bientôt je serai livree à la mort. Priez Dieu pour moi, car je ne pourrai plus servir mon Roi, ni le noble noyaume de France».
286
Perceval de Gagny. 167. — Procès. I. 148. — Journal d'un bourgeois de Paris. 245. — «Rendez la ville au Roi de France!». — «Rendez-vous, de par Jesus, à nous tot».
287
Gasquet. 118. — «Que le Roi se montre! Les bons Français qui sont a Paris feront quelque chose cette nuit».
288
Procès. I. 57, 246. — Perceval de Gagny. I. 26, 168. — «En nom de Dieu! la place eût été prise». — Chronique de la Pucelle. 334. — J. Chartier. I. 109.
289
Perceval de Gagny. 168–169. — Chronique de la Pucelle. 465. — Vallet de Virville. II. 120.
290
Procès III 99 — J Chartier. I. 109, 112. — Journal d'un bourgeois de Paris. 246. — Perceval de Gagny. 170.
291
см. сноску выше.
292
Procès. III. 217–218. — Saint-Pierre-de-Moustier. — «Je ne suis pas seule: j'ai en ma compagnie cinquante mille de mes gens. Et je ne partirai point d'ici jusqu'a ce que j'aie pris la ville».
293
Amiet. 33. — «…Qu'il ne craint point les fantômes».
294
Procès. I. 114, 253. — Aux faussées de Melun. — «Tu seras prise avant… Saint-Jean». — «Quand je serai prise, que je meure tout aussitôt, sans longue épreuve». — «Et les Voix lui répétaient qu'elle serait prise et qu'ainsi fallait-il qu'il fût fait». — «Ne t'ébanis pas et prend tout en grè. Dieu t'aidera». — Gabriel Leroy. Histoire du Melun depuis les temps les plus recules jusqu'à nos jours. Melun: Drosne, 1887. Ch. XVI.
295
Procès. IV. 458. — Compiègne. Margny. Ouase. Guillaume de Flavy. — A. Lorel. La prise de Jeanne d'Arc. 209. — Perceval de Gagny. 175–176 — «Mettez-vous en peine de regagner la ville ou nous sommes perdus». — «Allez en avant! Its sont à nous!».
296
Perceval de Gagny. 175. — J. Chartier. I. 122. — Procès. V. 166. — Amiet. 36. — «La pressait de lui bailler sa foi, pour ce qu'il était gentil-homme». — «J'ai juré et j'ai donné ma foi à Autre qu'à vous et Lui en tiendrai mon serment!».
297
D'Achery. Specilegium. III. 823. — France. II. 174. — «…Que ce très puissant Due n'eût pas peur des Larves vomies par l'enfer».
298
M. Duff et N. Hope. 191–194. — «Elles (les Voix) ne me dirent pas l'heure a la quelle je serais prise. Souvent je leur demandais de la faire connaitre, mais elles ne répondirent. Si j'avais su… j'y serais allé, quoi qu'il dût advenir».
299
Procès. I. 13. — Albert Sarrazin. Pierre Cauchon, jude de Jeanne d'Arc. Paris: H. Champion, 1901. P. 26, 58, 108. — Evêque de Beauvais. — Vallet de Virville. Procès de condamnation de Jeanne d'Arc. 10.
300
Procès. I. 14. — Michelet. 230–231.
301
Procès. I. 8 — 10. — Chateau de Beaulieu. — Fanon. Hist, des tribunaux de l'inquisition de France. Ch. II. — Henri Denifle et Émile Chatelain. Chartilarium Universitatis parisiensis. Parisis, ex typis fratrum Delalain, 1889. IV. 510. — Perceval de Gagny. Ill.
302
Marcellin Fornier. Histoire générale des Alpes Maritimes on Cottiènes, et partieulière de leur métropolitaine Ambrun. Paris: H. Champion, 1890–1892. II. 319–320.
303
Procès. V. 168. — Pastourel de Géraudan.
304
Procès. I. 109–110; II. 298; III. 121. — E. Gomard. Jeanne d'Arc au château de Beaurevoir. 1865, passim.
305
Amiet. 99. — «Je fus quatre mois environ à Beaurevoir. J'avais oui dire que ceux de Compiègne tous, jusqu'a l'âge de sept ans, devaient être mis à feu et à sang. Et moi, j'amais mieux a mourir que de vivre après une telle destruction de bonnes gens».
306
Procès. I. 150–151. — «Dieu vous aidera et pareillement ceux de Compiègne». — «Puisque Dieu aidera ceux de Compiègne, j'y veux etre». — «Sans faute, il faut que vous preniez tout en grè. Et vous ne serez point delivrée tant que vous n'aurez vu le roi des Anglais». — «Vraiment, je ne le voulusse point voir; j'amaisse mieux mourir que d'être mise en la main des Anglais».
307
Procès. I. 110, 151, 166. — Journal d'un bourgeois de Paris. 268. — Morosini. III. 301–303.
308
Procès. III. 136–137. — Albert Sarrazin. Jeanne d'Arc et la Normandie au XV-е siècle. Rouen: L. Gy, 1896. Ch. V. — Vallet de Virville. Hist, de Charles VII. Vol. II. 198. — François Valentin Bouquet. Notice historique et archéologique sur le donjon du château de Philippe-Auguste, bâti a Rouen en 1205, aujourd'hui tour Jeanne d'Arc. Rouen: E. Auge, 1877. P. 7 et suiv. — Bouvreuil.
309
Valerandus Varanius. De gestis Joannae Virginis, Francae egregiae bellatricis; poeme de 1516 remis en lumière, analysé et annoté par E. Prarond. Paris: Picard, 1889. Civ. IV. 100. — France. II. 201–202.
310
Amiet. 3.
311
Amiet. 66.
312
Duff et Hope. 226. — «Nous avons intention de faire un beau proces».
313
Hanotaux. 126. — Azincourt. — «Ce n'est pas nous qui avons fait cette tuerie, mais Dieu tout-puissant pour les péchés des Français». — Rabbe. Jeanne d'Arc en Angleterre. 13. — «Ma guerre est été appronvée par les saints prêtres».
314
Michelet. 226, 235.
315
Amiet. 103. — «…Si les Anglais la faisaient mourir, elle leur nuirait plus après sa mort que durant sa vie, et… malgrè sa mort, tout ce pourquoi elle été venue, s'accomplirait».
316
Amiet. 46–47.
317
Procès. III. 155; II. 132.
318
Procès. II. 18.
319
Amiet. 73. — «Houcepaillers».
320
Procès. III. 155, 163. — Sarrazin. 40.
321
Procès. III. 121–123. — Sir Humfrey. Comte Warwik. — «Quand ils seraient cent mille Godons de plus… ils n'auront pas le Royaume».
322
Procès. I. 35, 40–42. — Amiet. 71–73. — «Difformitate habitus».
323
Procès. I. 74–75. «J'aimerais mieux être tirée à quatre chevaux que d'être venue en France sans congé de Messire». — Procès. I. 62, 154. — «Vous dites que vous êtes mon juge; faites attention, car je suis, en verité, envoyée de par Dieu». — Procès. I. 84. — «Les Anglais perdront tout en France… je le sais aussi bien que je vous sais maintenant devant moi».
324
Procès. I. 120–122. — «Quel est le signe qui vint à votre roi?.. Est-ce or, argent ou pierre precieuse, ou couronne?». — «Je ne vous en dirai autre chose… Le signe qu'il vous faut, à vous, c'est que Dieu me délivre de vos mains, et est le plus certain qu'il vous sache envoyer».
325
Gasquet. 146. — «Passez outre!».
326
Procès. I. 93. — «Il faut dire ce que vous savez». — «Plutôt de dire tout ce que je sais, j'aimerais que vous me faissez couper le cou!».
327
Procès. I. 178. — «De l'amour ou haine que Dieu a pour les Anglais… je ne sais rien. Mais je sais bien qu'ils seront boutés hors de France». — Amiet. 96.
328
Amiet. 94.
329
Amiet. 94–95. — «…Fleuraient-elles bon?». — «…Elles fleuraient bon… Je les ai accolees… Mais vous n'en aurez autre chose…». — Procès. 97. — «Saint-Michel était-il nu?». — «Pensez-vous que Dieu n'ait pas de quoi le vétir?». — Procès. 98. — «Comment savez-vous si ce qui vous apparait est homme ou femme?». — «Je les reconnais a leurs voix… Je vois leurs faces, et toujours dans le même habit…». — Procès. 95. — «Leurs cheveux sont-ils longs?.. Y a-t-il quelque chose entre leurs couronnes et leurs chevelures?».
330
Gasquet. 160. — «Ne parlez pas tous à la fois, beaux pères!». — Amiet. 79. — «…Faites l'un après l'autre…».
331
Procès. I. 74–75. — «Toutes les lumières ne viennent pas à vous, mon beau seigneur!».
332
Petit de Julleville. 124. — «Ne vous trompez plus comme cela, ou bien je vous tirerai les oreilles!».
333
Gasquet. 156. — «Passez outre!».
334
Gasquet. 152. — «Vous avez done vu le sang anglais se repandre?». — «En nom de Dieu! si je l'ai vu? Comme vous parlez doucement! Que ne partaient-ils de France et n'allaient-ils dans leur pays?». — «La brave fille! Que n'est-elle Anglaise!» — «Silence! Mais vous. avez-vous frappé?». — «Jamais! Je portais ma bannière…».
335
Petit de Julleville. 133. — «Pourquoi votre étendart fut-il porté au Sacre, plutôt que ceux des autres capitaines?». — «Il avait été à la pleine… il fut à l'honneur!».
336
Procès. 156 — «Je crois… ce que mes Voix m'ont dit que je serai sauvée, aussi fermement que si j'y fusse déjà (au Paradis)». — «…C'est là une répouse de grand poids». — «Qui, et c'est pour moi un grand trésor!».
337
Procès. I. 65. —Jean Beaupère: «savez-vous si vous êtes en grâce de Dieu?». — Amiet. 163. — «Taceatis in nomine diaboli!». — «Si je n'y suis pas, Dieu m'y mette, et si j'y suis, Dieu m'y garde. Je serais la plus dolente du monde, si je savais ne pas etre en grâce de Dieu».
338
Gasquet. 149. — «C'est le Matin qui se mêle de dicter les résponses de l'effrontée ribaude».
339
Duff et Hope. 235. — Guillaume Manchon: «à mon avis, il était impossible que, dans une cause aussi difficile, Jeanne suffit a se défendre elle même contre si grands docteurs, si habiles maitres, si elle n'eût été inspirée».
340
Petit de Julleville. 126–127. — «Pourquoi done aides-tu à cette méchante en lui faisant tant de signes? Par la morbleu, vilain, si j'aperçois plus que tu mettes peine de la deliver… je te ferai jeter en Seine!».
341
Procès. III. 138. — Jean Lohier. — Procès. II. 359. — «Nous assistâmes au proces, mais nous fûmes dans la pensée de fuir».
342
Gasquet. 155–156. «Que te semble, sera-t-elle arse?». — Massieu: «jusque ce jour, je n'ai vu que bien et honneur en elle, mais je ne sais quelle sera la fin». — «Prenez garde… qu'on ne vous envoie pas (à la Seine) boire de l'eau plus que de raison…».
343
Nicolas Eymeric. Directorium inquisitorum. Venetiis: Apud Marcum Antonium Zalterium, 1595. III. — Cautelae inquisitorum contra haereticorum cavilationes et fraudes.
344
Procès. II. 342; III. 140, 156, 160, 181. — Nicolas Loisoleur. — Amiet. 133.
345
Procès. III. 49. — Jean d'Estivet, promoteur: «putain, paillarde!.. c'est toi qui as mangé harengs et autres choses à toi contraires». — «Le roi ne veut pour rien au monde qu'elle meurt de mort naturelle… l'ayant chérement achetée».
346
Procès. I. 174–176 — «Je suis venue au roi de France, de par Dieu, de la Vierge Marie et de tous les benoîts Saints et Saintes du paradis et de l'Eglise victorieuse de lahaut. Et à cette Eglise-là je soumets… tout ce que j'ai fait ou à faire». — Hanotaux. 306. — «Si l'Eglise militante vous dit que vos révélations sont… choses diaboliques, vous en rapporterez-vous a l'Eglise?». — Procès. I. 178. — «J'aime mieux mourir que de révoquer ce que Notre-Seigneur m'a fait faire». — Hanotaux. 306. — «Ne vous croyez-vous donc pas soumise a l'Eglise… qui est sur la terre?». — «Oui, je me crois soumise, mais Dieu premier servi».
347
Amiet. 217. — «Elle sera prise… On l'aurat jusqu'à l'os!».
348
Procès. II. 350, 365; III. 51.
349
Procès. I. 36 — 378. — «Il me semble, vu la maladie que j'ai, que je suis en grand danjer de mort… Je vous requiers de me faire avoir confession et le Corps de mon Seigneur…». — «Si voulez avoir les Sacrements, vous devez vous soumettre à l'Eglise». — «Si mon corps meurt en prison, je m'attends à vous que vous le fassiez mettre en terre sainte; si vous ne l'y faites mettre, je m'en attends à Notre-Seigneur».
350
Procès. I. 384. — Amiet. 192.
351
Procès. I. 399–400. — «Vraiment, si vous me deviez arracher les membres et faire partir l'âme hors du corps, je ne dirais autre chose et, si je vous disais quelque chose, après dirais-je toujours que vous me l'avez fait dire par force». — Procès. I. 402–404. — «C'est un procès bien fait; la torture le gâterait». — France. II. 338. — «Donum taciturnitatis».
352
Procès. I. 414. — Jacques Paul Migne. Dictionnaire des sciences occultes. Paris: Chez l'èditeur, 1846–1852.
353
Michelet. 263. — «Dieu a toujours été… en ce que j'ai fait; le diable n'a jamais eu puissance en moi». — Procès. I. 154, 156. — «Les Voix me disent que je serai délivree par grande victoire. Et après, elles me disent: „prends tout en grè, ne te chaille de ton martyre; tu t'en viendras enfin dans le royaume de Paradis…“». — Amiet. 190. Procès. I. 441–442. — «Si je voyais allumer les bourrées… et moi étant dans le feu, je n'en dirais autre chose».
354
Ch. Lea. De origine Officii S. Inquisitionis. 457.
355
Procès. I. 409. — «Le Prince des Pasteurs accordera, certainement, à votre révérée sollicitude pastorale une couronne de gloire immarescible».
356
Procès. 21. — Jean Beaupère: «se vous êtes bonne chrétienne, vous direz que vous soumettez tous vos faits et dits à notre sainte mère l'Eglise et, specialement, aux juges écclésiastiques». — «Ainsi ferai-je!».
357
Procès. III. 146. — «Jeanne, croyez-moi, il ne tient qu'à vous d'être sauvée… Faites ce qu'on décidera… Il vous arrivera tout bien… Vous serez mise entre les mains de l'Eglise».
358
Procès. II. 351; I. 456–457; II. 15, 17, 335, 345, 353, 367. — Bourg-l'Abbé. Le cimitière Saint-Ouen. Guillaume Erard. — «Par ma foi, messire, reverance gardée, je vous ose dire… que c'est le plus noble de tous les chrétiens, et qui le mieux aime la foi et l'Eglise, et n'est point tel que vous le dites…». — Procès. I. 145. — «…Et s'il у a quelque faute, c'est à moi et non a autre.». — Procès. I. 444–446. — «Quant aux dits et faits que j'ai faits, je les ai faits de par Dieu».
359
Procès. I. 474–475. — «Nous, juges, ayant devant les yeux le Christ el l'honneur de la foi ortodoxe, afin que notre jugement émane de la face du Seigneur, nous disons et décretons que tu as été mensongère, inventrice de révélation et apparitions prétendues divines; séductrice pernicieuse, présemtueuse, témeraire… blasphematrice envers Dieu, les saints et les saintes; contemprice de Dieu même dans ses Sacrements, prévacatrice divine… séditieuse… engagée en mille erreurs…». Procès. III. 123. — Les Voix: «Jeanne, nous avons si grande pitié de vous! Il faut que vous révoquiez ce que vous avez dit ou que nous vous abandonnions… Jeanne, faites ce qu'on vous conseille. Voules-vous vous faire mourir?».
360
Procès. I. 473, note; III. 65; II. 323. — «Jeanne cria, es mains jointes, quelle voulait bien obéir a l'Eglise».
361
Procès. II. 137, 376, 356; III. 157, 178; II. 55.
362
Procès. III. 99, 147; II. 323, 331. — «Comprenez bienque si vous allez à l'encontre… de ces articles, vous serez brulée». — «Je veux que l'Eglise délibère sur les articles. Je m'en rapporte à l'Eglise Universelle, si je dois abjurer ou non…». — «Faites le maintenant, sinon vous serez brulée aujourd'hui même». — Gasquet. 189. — «Jeanne petit Jeanne, fais ce qu'on, te conseille… ne te laisse pas mourir… Jeanne, on t'aime!». — Procès. III. 157. — «J'aime mieux signer que d'être brulée…».
363
Procès. II. 388; III. 55, 147.
364
Procès. II. 338; III. 147. — «C'est une pure Irufferie! Jeanne n'a fait que se moquer…». — Procès. III. 156. — «Vous faites mal d'accepter une abjuration pareille, c'est une dérision». — Amiet. 209. — «Traîtres! Voleurs!». — Procès. II. 376 — «Le roi va mal, la fille ne sera brulée!». — «Messire, n'ayez cure, nous la rattraperons bien!». — Amiet. 217. — «Nous l'aurons jusqu'à l'os!».
365
Procès. II. 17; III. 164.
366
Gasquet. 190. — «Jeanne, vous avez fail une bonne journee, vous avez sauvé votre âme!».
367
Procès. I. 450, 452. — «…Puisque, Dieu aidant, elle revient au giron de la Sainte Eglise, que d'un coeur contrit elle abjure ses erreurs… et afin que notre jugement soit comme un rayon de la face de Dieu… nous la délious par les sanctions ecclesiastiques des liens de l'excommunication dans lesquels elle était enchâtée… Nous la condamnons finalement et déinitivement à la prison perpétuelle avec le pain de douleur et l'eau de l'angoisse…». — Amiet. 332. — «Ad perpetuam carcerem muri… in pane doloris et aqua tribulationis».
368
Procès. II. 14. — «Or ça, entre vous, gens d'Eglise, menez-moi en vos prisons, et que je ne sois plus entre les mains des Anglaise». — Procès. II. 1. — «Menez-la où vous l'avez prise». — Hanotaux. 313. — «Je suis absolument sûr que la celude lue à la Pucelle n'était pas celle dont il est fait mention au Procès, car celle-ci est differente de celle que j'ai lue a Jeanne et qu'elle a signée! Я совершенно уверен, что прочитанное мной и подписанное Жанной отречение было вовсе не то, что объявлено было потом, на суде: это весьма отлично от того», — засвидетельствует впоследствии Жан Массие, или, другими словами, совершен был подлог. Что именно произошло, трудно понять, но нет никакого сомнения, что Жанна отреклась действительно, потому что и сама она, через несколько дней, в этом признается.
369
Amiet. 363.
370
Procès. II. 18.
371
Procès. II. 5; I. 455–457. — «Onques n'entendis que j'eusse fait serment de ne le point prendre… Il m'est plus licite… d'avoir habit d'homme, étant entre les hommes… Je l'ai repris pour ce qu'on ne m'a point tenu ce qu'on m'avait promis, c'est asavoir que j'irais a la messe et recevrai mon Sauveur et qu'on me mettrait hors les fers».
372
Amiet. 215. — Procès. I. 455–457. — «J'avais fait grande mauveseté… De peur du feu, j'ai dit ce que j'ai dit… Se qui était en la cedule de l'abjuration je ne l'entendais point… Je ne fis onques chose contre Dieu et la foi… Si je disais que Dieu ne m'a envoyée je me damnerais… Elles (les Voix) m'ont dit la grande pitié de la trahison que j'ai consentis… pour sauver ma vie… J'aime mieux mourir!».
373
До свидания! (англ.)
374
Procès. II. 5, 8, 305. — «Faites bonne chère! C'est fait, elle est prise!».
375
Amiet. 214.
376
Procès. I. 463. — «Jeanne est relapse… Ceci fait, à nous juges… de l'abondonner à la justice séculière».
377
Procès. II. 3–4, 8. — Martin Ladvenu, Isambert de la Pierre. — «Helas! me traîtra-t-on aussi horriblement et cruellement qu'il faille que mon corps net et entier qui ne fut jamais corrompu, soit aujourd'hui consume et reduite en cendres? Ah! Ah! j'aimerais mieux être decapitée sept fois que d'être ainsi brulee… Oh! j'en appelle devant Dieu, le Grand Juge, des grands torts et ingravances qu'on me fait!».
378
Procès. II. 34. — «Evêque, je meurs par vous!». — «Ah! Jeanne… vous mourrez parceque vous etesretournee a votre premier malefice». — Procès. I. 481–482. — «Or ça, Jeanne, vous nous avez toujours dit que vos Voix vous promettaient votre délivrance, et vous voyez maintenant comment elles vous ont deçue…». — «Vraiment, je vois bien qu'elles m'ont deçue».
379
Amiet. 218. — Procès. I. 482–484. — «Croyez-vous que ce soit le corps du Christ?». — «Oui, et Celui-la seul qui put me délivrer».
380
Sarrazin. Jeanne d'Arc et la Normandie. 369. — Amiet. 217. — Procès. IV. 459. — «Jehanne qui s'est faict la Pucelle, menteresse, pernicieuse, abuseresse du peuple, divineresse, superstitiuse, blasphameteresse de Dieu, presumptueuse, malcreant de la foi de Jhesuscrist, vanteresse, ydolatre, cruelle, dissolue, invocateresse de diables, apostate, scismatique et hérétique».
381
Procès. III. 159. — «Au nom du Seigneur… nous déclarons que toi, Jeanne, membre pourri dont nous voulons empêcher que l'infection ne se communique aux autres membres, tu dois etre rejetee de l'unité de l'Eglise; tu dois être livrée à la puissance séculiere… Attendu que… séduite par le démon, prince du mensonee, tu es retomblée dans tes erreurs et tes crimes, tel le chien qui retourne à son vomissement… Et nous te rejetons, nous te retranchons, nous t'abandonnons, priant cette meme puissance séculière de vouloir modérer envers toi sa sentence, en deçà de la mort et de la mutilation des membres…».
382
Eymeric. III. 554. — Bernard Gui. Practica inquisitionis hereticae pravitatis. III. 144.
383
Petit de Julleville. 164.
384
Procès. II. 19; III. 177, 186. — «Quoi donc, prêtres, nous ferez-vous diner ici?».
385
Petit de Julleville. 165. — Bailli, Jean de Bouteiller. — «Fais ton affaire!».
386
Procès. III. 53. — «Hérétique, relapse, apostate, idolâtre».
387
Procès. III. 53. — «Ah! Rouen, j'ai grand'peur que tu n'aies a souffrir de ma mort!».
388
Procès. II. 6, 191, 375. — Jean Alespée: «Je voudrais que mon âme fût où je crois qu'est l'âme de cette femme». — Shakespeare. Henry VI. I. 1. — Michelet. 282. — «Episcopus Belvancensis flevit».
389
Procès. II. 6, 20; III. 186.
390
Petit de Julleville. 167. — «Non, mes Voix ne m'ont pas trompée… Elles étaient de Dieu!». — Michelet. 285. — «Quod voces… erant de Deo… nec per has fuisse deceptam».
391
Procès. III. 398. — Michelet. 286.
392
Journal d'un bourgeois de Paris. 270–296. — Procès. III. 191.
393
Amiet. 222. — Procès. 159–160. — Basin. Hist. de Charles VII. I. 83.
394
Procès. II. 366.
395
Michelet. 287. — «Nous sommes perdus: nous avons brule une sainte!».
396
Procès. I. 485, 496; IV. 403.
397
Procès. I. 409.
398
Père Henri Denifle et Émile Chatelain. Mémoires de la Société de l'histoire de Paris et de l'Île-de-France. Paris, 1897. XXIV. 14. — «Vade ac bonae famae tuae odor ex laudabilibus actibus tuis latius diffundatur».
399
Amiet. 208.
400
France. II. 429.
401
Ayroles. Ch. IV. — Charles Marie de Robillard de Beaurepaire. Les Etats de Normandie sous la domination anglaise. Évreux: Impr. de A. Hérissey, 1859. P. 185–188.
402
Procès. V. 276, 112; II. 82, 91. — Ayroles. 607. — Jean Bréhal. — Amiet. 279.
403
Procès. 314. — Ayroles. 402–403. — Lanéry d'Arc. 247. — «Elle (Jeanne) était abjecte et tres pauvre, et paraissait presque idiote en tout ce qui ne concernait sa mission… Ce n'est qu'aux vertus de son Roi que le Seigneur accorda le secours de la Pucelle».
404
Procès. III. 355. — Amiet. 279. — «Le jugement déclare injuste, mal fondé, inique… cassé et frappé de nullité».
405
Amiet. 279.
1715 год, Россия. По стране гуляют слухи о конце света и втором пришествии. Наиболее смелые и отчаянные проповедники утверждают, что государь Петр Алексеевич – сам Антихрист. Эта мысль все прочнее и прочнее проникает в сердца и души не только простого люда, но даже ближайшего окружения царя.Так кем же был Петр для России? Великим правителем, глядевшим далеко вперед и сумевшим заставить весь мир уважать свое государство, или великим разрушителем, врагом всего старого, истинного, тупым заморским топором подрубившим родные, исконно русские корни?Противоречивая личность Петра I предстает во всей своей силе и слабости на фоне его сложных взаимоотношений с сыном – царевичем Алексеем.
Трилогия «Христос и Антихрист» занимает в творчестве выдающегося русского писателя, историка и философа Д.С.Мережковского центральное место. В романах, героями которых стали бесспорно значительные исторические личности, автор выражает одну из главных своих идей: вечная борьба Христа и Антихриста обостряется в кульминационные моменты истории. Ареной этой борьбы, как и борьбы христианства и язычества, становятся души главных героев.
Тема власти – одна из самых животрепещущих и неисчерпаемых в истории России. Слепая любовь к царю-батюшке, обожествление правителя и в то же время непрерывные народные бунты, заговоры, самозванщина – это постоянное соединение несоединимого, волнующее литераторов, историков.В книге «Бремя власти» представлены два драматических периода русской истории: начало Смутного времени (правление Федора Ивановича, его смерть и воцарение Бориса Годунова) и период правления Павла I, его убийство и воцарение сына – Александра I.Авторы исторических эссе «Несть бо власть аще не от Бога» и «Искушение властью» отвечают на важные вопросы: что такое бремя власти? как оно давит на человека? как честно исполнять долг перед народом, получив власть в свои руки?Для широкого круга читателей.В книгу вошли произведения:А.
В книге рассказывается история главного героя, который сталкивается с различными проблемами и препятствиями на протяжении всего своего путешествия. По пути он встречает множество второстепенных персонажей, которые играют важные роли в истории. Благодаря опыту главного героя книга исследует такие темы, как любовь, потеря, надежда и стойкость. По мере того, как главный герой преодолевает свои трудности, он усваивает ценные уроки жизни и растет как личность.
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«… Показать лицо человека, дать заглянуть в душу его – такова цель всякого жизнеописания, „жизни героя“, по Плутарху.Наполеону, в этом смысле, не посчастливилось. Не то чтобы о нем писали мало – напротив, столько, как ни об одном человеке нашего времени. Кажется, уже сорок тысяч книг написано, а сколько еще будет? И нельзя сказать, чтобы без пользы. Мы знаем бесконечно много о войнах его, политике, дипломатии, законодательстве, администрации; об его министрах, маршалах, братьях, сестрах, женах, любовницах и даже кое-что о нем самом.
Монография посвящена исследованию становления онтологической парадигмы трансгрессии в истории европейской и русской философии. Основное внимание в книге сосредоточено на учениях Г. В. Ф. Гегеля и Ф. Ницше как на основных источниках формирования нового типа философского мышления.Монография адресована философам, аспирантам, студентам и всем интересующимся проблемами современной онтологии.
Книга выдающегося польского логика и философа Яна Лукасевича (1878-1956), опубликованная в 1910 г., уже к концу XX века привлекла к себе настолько большое внимание, что ее начали переводить на многие европейские языки. Теперь пришла очередь русского издания. В этой книге впервые в мире подвергнут обстоятельной критике принцип противоречия, защищаемый Аристотелем в «Метафизике». В данное издание включены четыре статьи Лукасевича и среди них новый перевод знаменитой статьи «О детерминизме». Книга также снабжена биографией Яна Лукасевича и вступительной статьей, показывающей мучительную внутреннюю борьбу Лукасевича в связи с предлагаемой им революцией в логике.
М.Н. Эпштейн – известный филолог и философ, профессор теории культуры (университет Эмори, США). Эта книга – итог его многолетней междисциплинарной работы, в том числе как руководителя Центра гуманитарных инноваций (Даремский университет, Великобритания). Задача книги – наметить выход из кризиса гуманитарных наук, преодолеть их изоляцию в современном обществе, интегрировать в духовное и научно-техническое развитие человечества. В книге рассматриваются пути гуманитарного изобретательства, научного воображения, творческих инноваций.
Книга – дополненное и переработанное издание «Эстетической эпистемологии», опубликованной в 2015 году издательством Palmarium Academic Publishing (Saarbrücken) и Издательским домом «Академия» (Москва). В работе анализируются подходы к построению эстетической теории познания, проблематика соотношения эстетического и познавательного отношения к миру, рассматривается нестираемая данность эстетического в жизни познания, раскрывается, как эстетическое свойство познающего разума проявляется в кибернетике сознания и искусственного интеллекта.
Автор книги профессор Георг Менде – один из видных философов Германской Демократической Республики. «Путь Карла Маркса от революционного демократа к коммунисту» – исследование первого периода идейного развития К. Маркса (1837 – 1844 гг.).Г. Менде в своем небольшом, но ценном труде широко анализирует многие документы, раскрывающие становление К. Маркса как коммуниста, теоретика и вождя революционно-освободительного движения пролетариата.
Книга будет интересна всем, кто неравнодушен к мнению больших учёных о ценности Знания, о путях его расширения и качествах, необходимых первопроходцам науки. Но в первую очередь она адресована старшей школе для обучения искусству мышления на конкретных примерах. Эти примеры представляют собой адаптированные фрагменты из трудов, писем, дневниковых записей, публицистических статей учёных-классиков и учёных нашего времени, подобранные тематически. Прилагаются Словарь и иллюстрированный Указатель имён, с краткими сведениями о характерном в деятельности и личности всех упоминаемых учёных.
В трилогию «Лица святых от Иисуса к нам» русского писателя и философа Д.С.Мережковского (1865 – 1941) вошли книги «Павел. Августин» (1936), «Франциск Ассизский» (1938) и «Жанна д`Арк» (1938), которые фактически являются продолжением его «Иисуса Неизвестного». В новой трилогии автор снова обратился к своей главной теме, соединив в одном религиозно-философском произведении многовековую мистерию христианства и современность.
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